L'établissement fermera ses portes dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, l'autorisation des jeux, arrivant à échéance, n'ayant pas été renouvelée.
C'est l'épilogue d'un feuilleton qui dure depuis cet été. Une douche froide pour la trentaine de salariés qui espéraient avoir un sursis et sauver leur emploi. Mais surtout une sanction jugée " disproportionnée" par la direction de l'établissement qui a saisi la justice via un référé suspension, espérant ainsi pouvoir rouvrir l'établissement "dans quelques semaines".
En attendant, le personnel fera l'objet de mesures de chômage partiel dès le 1er janvier 2015.
(source :nicematin.com)