Mercredi 4 juin 2025, de nouvelles machines à sous débarqueront au casino de Bagnoles (Orne). Durant le mois, des séjours d'évasion seront également à gagner.
Alors qu’elle compte actuellement 152 machines à sous, 6 tables de jeux, 32 roulettes électroniques, 7 postes de black jack électronique, la salle des jeux du casino JOA de Bagnoles (Orne) va connaître un nouveau « mix » dans la nuit du 3 au 4 juin 2025.
« Nous allons recevoir deux nouvelles machines à sous : une 4eMagic Treasures et une multi jeux Samouraï 888, annonce Robert Cannou, directeur des jeux. Nous aurons également un nouveau concept de jeu, Lightning gong, qui sera adapté sur trois machines existantes. Notre objectif est de renouveler progressivement notre parc de machines afin d’apporter de la nouveauté aux clients, qui en sont friands ».
Pour ce faire, le casino fermera le mardi 3 juin, à minuit, pour rouvrir le mercredi 4 juin, à 10 h. L’installation sera assurée par des membres du personnel et des représentants du fournisseur, « sous le contrôle de la police des jeux, qui vérifiera si tout est conforme à ce que nous avons déclaré » précise Emmanuel Boisgontier, directeur du casino. Pour fêter l’événement, apéritif offert midi et soir, animations avec des cadeaux.
Evadez vous
Du 5 au 20 juin, le casino organise le jeu « Misez sur l’évasion » pour les membres du club JOA avec une dotation de plus de 3 000 €.
« Chaque jour, de 15 h à 18 h, auront lieu 5 tirages au sort avec des enveloppes à choisir pour gagner des cadeaux » explique le directeur.
Par ailleurs, les clients seront invités à s’inscrire chaque jour à la borne digitale pour participer à la tombola Evasion.
Quinze lots (trois séjours, six tickets de jeu, six cartes cadeaux) seront mis en jeu lors de trois tirages : vendredi 6 juin, un séjour à Marrakech pour deux ; vendredi 13, un séjour à Lisbonne pour deux ; vendredi 20, un séjour à Madrid pour deux.
« Ces séjours comprennent les billets d’avion et deux nuits à l’hôtel avec petit-déjeuner » précise Emmanuel Boisgontier.
(source : actu.fr/Michel Moriceau)