Après deux ans de travaux, le Pasino Grand La Tour de Salvagny, alias le Casino le Lyon vert, a ouvert ses portes au public ce mercredi à 15h. Pas d’inauguration, mais la fête pour accueillir les nombreux clients désireux de découvrir l’établissement rénové, qui intègre ainsi les prestigieux établissements majeurs du Groupe partouche.
C’était la foule devant les portes du « Pasino Grand la Tour de Salvagny », nouveau nom du casino le Lyon vert, ce mercredi après-midi. En effet après deux ans de travaux, de très nombreux habitués étaient curieux de voir les transformations et souhaitaient être les premiers à s’attabler devant les machines à sous.
Et dès l’entrée, l’effet de surprise est bluffant. Un vaste hall lumineux accueille les clients qui doivent comme c’est l’usage déposer leur pièce d’identité. Quelques pas et l’on découvre une salle immense éclairée de multiples jeux de lumière colorés.
Une variété de jeux de table
Les espaces de jeux, sont passés comme le précise Chantal partouche PDG du Pasino Grand-La Tour de Salvagny de 1600 m2 à près de 4000 m2, ce qui permet de proposer une variété exceptionnelle de jeux de table, de machines à sous, un espace dédié aux roulettes électroniques animé et festif ainsi que des espaces de jeux en extérieur et de grandes terrasses fumeurs donnant sur le parc.
Cette transformation, souligne-t-elle, « marque une nouvelle ère pour le casino, offrant aux visiteurs une expérience de jeu encore plus immersive et divertissante ».
Cette modernisation du casino s’accompagne également de l’intégration des dernières technologies, assurant aux joueurs une expérience innovante. Enfin, dans un espace convivial donnant sur la cascade du parc, des surprises bistronomiques attendent les visiteurs.
Aux côtés de la présidente Chantal partouche, Fabrice Paire, président du directoire Groupe partouche, Catherine Merli, directrice générale, et toute l’équipe ont applaudi l’entrée des premiers clients. A noter la présence de Gilles Pillon, ravi de voir le nom de la commune dont il est maire accolé à celui du casino.
(source ; leprogres.fr/Gisèle Lombard)