Depuis la fin de l'année dernière, circus Casino France est le nouveau propriétaire du casino de Balaruc-les-Bains. Entité française de la société belge Gaming1, le groupe implanté en France depuis 2016 y compte désormais sept casinos plus un club de jeux à Paris et souhaite poursuivre son implantation sur le marché français.
125 machines à sous
Pour Balaruc, comme d'ailleurs pour l'ensemble des casinos, l'objectif sera d'abord de retrouver une clientèle après la pandémie qui a fortement impacté le secteur.
"On enregistre aujourd'hui un retour de la clientèle, mais la fréquentation reste en baisse de 20 % par rapport à 2019", précise David Mahieu, directeur France.
L'exercice 2018-2019, le dernier avant le Covid, le produit des jeux s'élevait à 9 605 218 €, classant Balaruc au 88e rang des 202 casinos français. En ce début de saison 2022, "on revit presque normalement et on a l'espoir que cette saison se passe bien, sans mauvaise surprise à l'automne", ajoute David Mahieu. Pour ce faire, l'établissement balarucois comptera sur 125 machines à sous, 24 roulettes électroniques, 1 roulette anglaise, 2 black-jacks et une table de Rampo, un jeu exclusif.
Parking VIP
Côté restauration, le chef Paul Razes est toujours là mais le restaurant, qui privilégie toujours sur la qualité en s'appuyant exclusivement sur des produits locaux et bio, est désormais ouvert sept soirs sur sept. "Avec une carte qui change tous les mois, et, c'est nouveau, des formules à 25 et 40 €", précise le chef. Avec Eric Argenti, déjà en place avec la précédente direction, comme directeur responsable, et Aline Coulon, marketing et membre du comité de direction, la structure balarucoise, qui emploie quarante-deux personnes, a également plusieurs projets d'aménagement dans les cartons. Comme la création d'un espace fumeurs avec une trentaine de machines à sous, mais aussi la réalisation d'un nouveau parking VIP. Quant à l'implication du casino dans la vie locale : "On va poursuivre nos partenariats avec les clubs et associations", assure Aline Coulon.
(source : midilibre.fr)