La rénovation du stade du Real madrid bat son plein. Mais non, celui-ci ne devrait pas voir apparaître un casino, comme le suggère une rumeur qui enfle en Espagne.
Un milliard d’euros. C’est le total des revenus que le Real madrid espère engranger chaque année grâce à sa nouvelle enceinte. Depuis 2019, le mythique Santiago Bernabeu subit un lifting sensé plus que jamais projeter son club dans le monde actuel. Une cure de jouvence estimée à environ 800 millions d’euros. Et les Madrilènes n’attendront pas avant de rentrer dans leurs frais.
Dans cette optique, la création d’un casino aurait pu faire sens. En tout cas, la rumeur a pris de l’ampleur en Espagne, où plusieurs médias ont fait circuler l’information (avant le 1er avril, donc). Celle-ci précisait que le club de la capitale espérait en tirer quelque 120 millions d’euros par année. Au fond, ce n’aurait été là qu’un des nombreux ajouts qui doivent venir se greffer au stade. Un espace dévoué à l’e-sport fera son apparition, tout comme un restaurant de luxe, un espace évènementiel, des boutiques ainsi que le musée du club, qui connaîtra lui aussi sa rénovation.
«La loi ne le permet pas»
Oui mais non. Plusieurs médias sont sortis de leur boite hier soir pour démentir la fausse information. «La hiérarchie du Real madrid n'envisage pas la création d'un casino à l'intérieur du nouveau Bernabeu, comme une folle rumeur émanant des médias espagnoles l'indique. C'est une option impossible car la loi ne permet pas la création de casinos de jeu dans les centres-villes».
En revanche, l’idée du Real d’augmenter les jours d’utilisation de son stade est une évidence. Celui-ci n’était employé en moyenne qu’une trentaine de jours par année. Objectif: décupler ce chiffre pour le monter à 300. «Les mauvaises langues s'en étaient donné à cœur-joie, arguant que le Real aurait vu d'un très bon œil les rentrées d'argent générées par la présence d'un casino après le retombées économiques désastreuses de la pandémie mondiale». Il faudra trouver une autre méthode pour regonfler les comptes.
(source : lessentiel.lu)