Le casino de Gérardmer vient de se doter de nouvelles machines, installées au petit matin ce jeudi. La mise en service interviendra dès l’autorisation (imminente) du ministère de l’intérieur.
Le feu vert était attendu hier encore d’un instant à l’autre, mais tout était prêt pour une mise en service ce jeudi matin.
A la faveur d’un arrêté du ministère de l’Intérieur, le casino Joa de Gérardmer va pouvoir augmenter son nombre de machines à sous, passant de 93 à 100 machines dès aujourd’hui.
C’est le signe d’une belle vitalité de l’établissement géromois qui confirme ainsi sa place de premier casino vosgien en termes de chiffre d’affaires mais aussi de nombre de machines.?Il s’agit en conséquence d’un motif de satisfaction pour l’équipe de Frédéric Remy, le directeur de l’établissement.
Passer de 93 à 100 machines, ce n’est pas anodin. Cette petite révolution s’est accompagnée d’un autre événement notable : depuis le 20 juillet, une quarantaine de machines qui acceptaient encore les jetons ont été modernisées. Elles fonctionnement désormais avec des tickets à la faveur d’un nouveau système électronique. « Il y avait du sens à harmoniser l’ensemble des machines », estime Frédéric Remy. L’opération a nécessité un investissement de plus de 100 000 euros.?
Roulette anglaise électronique
Ainsi, le parc du casino géromois est désormais à 100 % équipé de ce système électronique. Ce qui génère une autre possibilité réglementaire : celle de pouvoir réunir en un seul lieu la caisse dédiée aux machines à sous et celle aux jeux de tables.
L’espace gagné - environ 20 m² - va permettre d’accueillir les nouvelles machines à sous. Celles-ci ont été installées dans la nuit par les équipes du casino, ainsi que les techniciens de la société de fourniture et de maintenance.
A l’occasion de ce « mix », d’autres nouveautés ont été mises en service.?
Quatre postes déportés de roulette anglaise électronique ont été installés. Un autre investissement qui répond à un engouement de plus en plus important de la clientèle pour ce type de jeux.
(source : vosgesmatin.fr/Philippe CUNY)