Les dix plus gros casinotiers français sont présents en Basse-normandie : Barrière (Deauville, Trouville, Ouistreham), Tranchant (Villers et Luc), Partouche (Cabourg, Coutainville), Moliflor (Saint-Aubin, Saint-Pair), Émeraude (Bagnoles), Viking (Houlgate), Cherbourg (Cogit, Martinique) et Granville (groupe indépendant).
Machines à sous. Des demandes de machines supplémentaires en 2008 ont été déposées par les casinos de Cabourg (25 machines), Houlgate (30), Luc-sur-Mer (60), Saint-Aubin-sur-Mer (30), Coutainville (30), Saint-Pair-sur-Mer.
Bagnoles-de-l'Orne. Depuis octobre, le seul casino de l'Orne est passé de 100 à 130 machines à sous. Une salle supplémentaire et un bar lounge ont été inaugurés.
Luc-sur-Mer a doublé sa surface d'exploitation passant à 4 000 m2 avec un nouveau bâtiment de deux niveaux comprenant une salle de spectacles de 500 m2, un restaurant et un parking souterrain de 65 places. Les travaux commencés il y a un an seront terminés au premier semestre de 2008.
Blonville-sur-Mer s'est encore vu refuser un casino pour la deuxième fois. La petite station balnéaire entre Deauville et Cabourg avait pourtant trouvé son casinotier, le groupe Émeraude. Le ministère de l'Intérieur considère l'offre de jeux suffisante sur le littoral normand.Courseulles-sur-Mer. En mai, la justice annulait l'attribution de l'établissement au groupe Viking, après un recours des deux candidats à l'exploitation : Barrière et Cogit.
Honfleur est toujours en attente d'être classée station balnéaire, condition pour ouvrir un casino.
Pasino Le Havre. Deuxième année d'exercice pour le Pasino du Havre dans l'ancien Palais de la bourse. Avec un P comme Partouche et palace avec ses chambres de luxe et son restaurant gastronomique. Depuis septembre, le complexe multiloisirs est passé de 100 à 150 machines à sous et a fait une demande de 100 supplémentaires en 2008. Avec un PBJ de 18,8 millions d'euros il a un fait un bond en un an de la 65e à la 49e place nationale.
(source : ouest-france.fr)