Le prestigieux World Poker Tour fera étape à Amnéville. Du 2 au 7 novembre, ça va flamber au Seven Casino.
Jamais un tournoi de poker aussi prestigieux et reconnu que le World Poker Tour n'aura été aussi proche de chez vous! Et c'est Amnéville et son flambant neuf Seven Casino (inauguré le 7 juillet dernier) qui aura l'immense honneur d'accueillir cet événement. Une première en France! «Nous sommes idéalement situés pour accueillir des joueurs venus du Luxembourg, des Pays-Bas, de Belgique ou encore d'Allemagne», précise le directeur du quatrième plus gros établissement de jeux français, Christophe Schanne.
Un responsable qui se félicite d'offrir une vitrine mondiale à la petite ville d'Amnéville. «Ce tournoi offre une notoriété mondiale à notre cité, mais aussi à la Moselle et à toute la Lorraine», se réjouit-il. Avec la construction de son nouveau complexe de 9 600 m2, le Casino d'Amnéville a voulu pleinement profiter du boom du poker. «Nous avons réalisé une étude d'impact et de rentabilité sur le poker. Puis, nous avons étudié les souhaits des joueurs pour les mettre dans les meilleures dispositions possibles. Aujourd'hui, nous ouvrons quotidiennement huit tables de poker et organisons de nombreux tournois», explique Christophe Schanne.
L'aventure du WPT découlait donc naturellement de cette politique. Ils pourraient être plus de 700 joueurs venus du monde entier à se disputer les 2 millions d'euros mis en jeu. En plus des nombreux professionnels présents pour le rendez-vous, le Casino a tenu à faire participer sa clientèle locale. «Nous avons volontairement abaissé le prix d'entrée du tournoi à 3500euros (+500 euros pour les frais d'inscription) pour le rendre plus accessible. Nous voulons rester un casino populaire et cherchons à offrir la possibilité à notre clientèle traditionnelle de participer aussi à la fête. Nous avons lancé des sessions qualificatives à seulement 50euros». En parallèle du WPT, une vingtaine d'autres tournois seront organisés pour permettre à tous de goûter aux joies d'un bluff réussi.
(source : lessentiel.lu/Philippe Di Filippo)